Penser aux autres, c’est bon pour la santé, avancent des chercheurs de l’Université de Colombie-Britannique dans le « Journal of the American Medical Association » (JAMA). Ils ont suivi 106 ados répartis en deux groupes. Dans l’un, les jeunes devaient aider des élèves en difficulté une heure par semaine. Six mois après, cholestérol et indice de masse corporelle étaient plus bas que dans l’autre groupe. «Ceux qui avaient montré le plus d’empathie et d’altruisme dans I’accomplissement de leur tâche étaient aussi ceux dont la santé cardiovasculaire s'était le plus améliorée », explique Hannah Schreier, auteure de l’étude.